Découverte du Kendo

Découvrez comment nos membres ont découverts cet art martial

Agathe

Pour ma part, je suis poussée depuis toute petite à faire du sport en dehors de l’école. Entre gymnastique, volley, danse, trampoline… je ne tenais qu’une année ou deux et me lassais assez vite. Au lycée, je commence à m’intéresser plus sérieusement à la culture japonaise et l’envie de faire unsport de combat devient plus tentante. Problème: je déteste les sports de contact (exit le judo, taekwondo). La révélation me vient tout simplement d’un manga découvert à ce moment là, Kenshin le vagabond. Où l’on y trouve un petit aperçu de ce qu’est le kendo. Un kendoka porte une armure et combat au sabre (c’est vraiment classe !), mais il y a aussi des notions de valeur, de discipline, d’entraide et d’humilité. Une fois le pied dans ce monde, on y découvre une envie de se surpasser sur fond de joyeuse entente. Et quinze ans plus tard, je peux dire que je ne me lasse toujours pas !

Didier

Bouddha de la patience…

Mickaël

A venir…

Luc

Suspense….

Michaël

« En ce temps là »

Je me battais avec mon grand frère avec des épées en bois (comprendre gourdins sommairement taillés ou manches à balai dans le meilleur des cas) en imaginant le chevalier et par extension le samouraï qui, dans notre idée, représentait la quintessence du guerrier. J’avais 6 ans, les poignets couverts de bleus et des étoiles plein la tête quand elles ne tournaient pas à l’extérieur es autour d’une bosse. Et puis un jour j’ai vu un article sur un Géo; un article sur le kendo, on y voyait plein de gens en tenue bleue et en armure de samouraï avec des sabres en bambou qui se battaient sur la plage. « Le kendo l’art de l’escrime » : la révélation! Je sus que c’était cela que je voulais faire . Ce qui ne pu être fait que 11 ans plus tard… »

Raphaël

Tout à commencé à la fac, apparemment pas lassé de suivre les mêmes cours toute la semaine ni d’avoir des week-ends de jeux de rôles interminables, avec un ami on s’est laissé convaincre d’essayer le kendo par un ancien kendoka qui nous racontait ses anecdotes au détour d’une conversation qui mélangeait réalisme des chorégraphies de cinéma (coucou star wars) et règles maison pour gérer les dégâts d’un coup de masse sur le coin du crâne. Deux années plus tard je fais une pause en changeant de braquet dans mes études, à regret. Régulièrement je repensais aux bons moments, à mes amis du club. Je racontait mes propres anecdotes. Études, boulot, couple, enfant. Et

toujours derrière le souvenir du kendo. Holà ! déjà vingt ans ? Bon je m’y remet avant la retraite quand même ! Et me revoilà. j’aime toujours autant. l’énergie que ça donne, les petits rituels qui nous aident à faire les choses. les connections avec les autres et avec son monde intérieur. Et cette sensation de suivre une voie… Qui mène où ? Je sais pas. Plus loin j’imagine, je verrais bien !

Fabien

Je souhaitais trouver une activité physique pour garder la santé. Depuis longtemps j’étais attiré par les combats en arme et j’avais apprécié le côté cadré et rigoureux de la pratique du karaté. Habitant à Toulouse à l’époque, j’ai été très bien accueilli au sein de l’association « CHOWAKAN ». Au delà de la pratique du kendo en tant que tel j’y ai rencontré de belles personnes et une franche camaraderie s’est développée. Ayant déménagé du côté de Montpellier, j’ai retrouvé des valeurs similaires et de belles rencontres au sein du SEIDOKAN où je pratique désormais.

Nicolas

Avant de franchir le pas, je cherchais une activité sportive qui me permettrait me travailler mon maintien du dos et la posture. A l’occasion du forum des associations, j’ai pu voir l’existence du club et j’ai décider de tenter les cours d’initiation. Ayant déjà vu des vidéos sur le kendo, l’intérêt était la. Et depuis, on continue dans un contexte agréable et pleine de Kiaî. L’objectif : Libérez son potentiel